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zapatosardientes
6 mai 2006

Introduction à la section danses bascogasconnes (suite)

BUT DE CETTE SECTION DU BLOG:

1)Nous souhaitons faire découvrir par la vidéo, à des personnes ne connaissant pas les bals folks, la joie, le plaisir qu'on y éprouve, la diversité des pas (sans que celà soit des modèles)  que l'on peut effectuer sur certains types de mélodies
Nous souhaitons leur donner l'envie de découvrir, d'aller à un bal folk, au moins une fois pour voir et pour participer

pour ceci: présenter des atmosphères, des possibilités, des libertés, les vidéos bloguées là sont une illustration  de notre note de départ sur le bal folk:

Danse bascogasconne - le bal folk (introduction)

c'est pourquoi ce sont des extraits principalement sélectionnés au cours de bals et non de cours formels, les exemples tirés de stages, avec quelques commentaires sont des moments de mémorisation en phase finale pour que les scènes présentées se rapprochent de l'atmosphère de bal.

ces courts extraits visent à montrer non des personnes, mais des atmosphères et des évolutions diverses

donc, c'est volontairement que nous ne citons ni lieux ni personnes sur les vidéos présentées.

Conformément aux lois sur l'audiovisuel, les vidéos signées zapatosardientes ne sont pas des films copiés sur autrui. Ce ne sont pas des contrefaçons ou reproduction ou retraitement d'émissions de télé ou de DVD et cassettes commerciales. Et elles ne portent aucune donnée nominative.

Ces vidéos arborent le "copyrigth zapatosardientes" pour garantir que ce sont bien les membres de ce blog qui ont effectué les prises de vue, puis effectué des montages et traité les films, avec certains effets spéciaux.  (Aucun clip n'est une représentation brute de la réalité, ces clips sont des créations audiovisuelles personnelles).

Par "éthique": nous essayons en priorité que seuls les jambes ou les pieds soient filmés , mais nous ne reussissons pas toujours à le réaliser surtout s'il s'agit de mouvement de groupe où l'ensemble est plus important que le mouvement ou les pas exécutés par les pieds!
Il nous arrive au montage de "flouter" volontairement des plans pour éviter que l'attention ne soit focalisée que sur une personne ou un groupe en particulier, car ce n'est pas là notre but.
Nous pourrions ne présenter que "nous-même" sur les vidéos, mais ça prendrait plutôt le tour de "cours" ou présentations figées, ce qui est à l'opposé de nos buts, donc nous avons voulu l'éviter jusqu'à present.

:[mais il n'est pas dit qu'avec l'évolution ou plutôt la restriction des champs de liberté en audio-visuel, ou l'invocation rapide du fameux "droit à l'image" ***(défini par des cadres précis, voir au bas de cet article), nous ne soyons pas obligés d'en venir rapidement à cette triste extrémité: nous mettre en "vedette" sur fond de mur de garage, avec pour tout orchestre notre chaine stéréo portable retransmettant nos propres enregistrements de nous à la guitare et à l'accordéon diato et au chant mis en "boite" par nos soins! Nous ne le souhaitons pas! Le plus tard sans faute! Cependant nous n'hésiterons plus à le faire S'IL LE FAUT!]

2)Nous souhaitons montrer qu'il y a des possibilités d'apprentissage joyeux et conviviaux, en des lieux où l''on peut s'initier correctement et facilement auprès d' animateurs chevronnés. 
Des "lieux en général", si l'on veut les connaître en particulier, il y a la rubrique agenda où ils sont plus particulièrement et très précisément cités avec coordonnées (lorsqu'ils sont portés à notre connaissance)
que ces lieux de stage ou d'apprentissage sont conviviaux

nos vidéos veulent montrer et démontrer que la danse trad est danse collective et privilégie la comunication et la convivialité et que, par conséquent, aucune vidéo ne remplacera jamais le stage ou l'atelier, ou le bal quel qu'il soit .

3) les textes qui accompagnent les vidéos ne sont pas  précisément déstinés aux habitués des stages et bals folk, qui eux savent ce qu'est un bal folk et connaissent les danses, ce sont plutôt des réflexions personnelles, sur le vif.
Elles émanent de ce que nous avons vécu avec tous les apports reçus depuis 1966, toutes les rencontres faites, de ce qui est ressenti au cours de certaines danses. 
Ils ne se font pas l'écho de propos reccueillis auprès d'animateurs ou de professeurs quels qu'ils soient, ou à quelque époque que nous les ayons rencontrés, quelque interessant ou formateur qu'aient été leur enseignement.

Les tentatives d'explication de pas ou de forme de certaines danses, s'appuient principalement sur ce que nous avons appris dans les années 78 à 85 au cours de stages et formations variés.** Nous reproduisons des synthèses de ce que nous avons écrit à cette époque sur nos fiches personnelles. Depuis nous avons bien entendu suivi d'autres stages, et vécu d'autres expériences.

En ce qui concerne ma brêve synthèse sur l'évolution de la danse traditionnelle et des groupes de jeunes chorégraphes, cela s'adresse surtout à ce que j'en vois en Pays Basque, et reflète certains échanges avec des personnes culturellement concernées et engagées, je revendique cependant totalement ce que j'écris comme étant de mon cru.

Tous les textes qui accompagnent les vidéos présentées dans cette section n'engagent donc, bien entendu, que les auteurs du blog ZAPATOSARDIENTES. (nous rappelons que ce blog est un travail collectif)

(dans le cas contraire, je cite mes sources en les mettant en lien  ou en explications claires sous le vocable "source", lors il ne peut y avoir confusion, nous essayons que la présentation soit d'accès et de compréhension aisés)

Merci de le comprendre.

NB:

Si des personnes se trouvaient choquées, offensées, ou incommodées  par ce qui est écrit ou montré, qu'elles l'expriment. Nous le rappellons, les commentaires sont modérés (afin d'éviter les spammeurs) et n'apparaissent qu'après validation.

Si des personnes ont d'autres explications, ou versions que celles que nous rapportons, qu'elles l'expriment également, tout en sâchant que nous ne retirerons pas les nôtres, à moins qu'elles ne contiennent de flagrantes erreurs ou coquilles, ce qui est toujours possible.

Si quelque publication se trouvait en contradiction avec l'esprit de la net-étiquette, nous donnerons suite dans le cas où une demande formulée à leur égard serait fondée***.

Nous répondons toujours aux coms publiés, par d'autres coms en dessous.

Les responsables du blog ZAPATOSARDIENTES

_______________________

COMPLEMENT D'INFORMATION GENERALE sur le

"droit à l'image"

- Le droit à l’image est un droit qui s’est développé récemment, sous l’influence du développement d’une conception consumériste de la société par les individus qui la composent dans les pays occidentaux. Tout devient monnayable, y compris ce qui juridiquement a été conçu pour ne pas l’être.

- La première condition que pose le Code civil est que l’atteinte soit portée à la vie privée de l’individu. En d’autres termes, une image captée dans le cadre de la vie publique ne peut porter préjudice à quiconque.

L'article 9-2 du code civil stipule que:

«Chacun a un droit à l'image sur sa personne. Le droit à l'image d'une personne est le droit que chacun possède sur la reproduction ou l'utilisation de sa propre image. L'image d'une personne peut toutefois être reproduite ou utilisée dès lors qu'il n'en résulte aucun préjudice réel et sérieux pour celle-ci. »

- Le Code civil pose deux conditions :

il faut qu’un dommage soit subi ;
il faut que soit portée atteinte non seulement à la vie privée, mais surtout à l’intimité de la vie privée.

Il faut donc que le préjudice porte sur une situation habituellement réservée au cadre privé, cachée, secrète, qu’il « endommage » en quelque sorte la continuation de la vie privée, qu’il mette en péril le déroulement normal de la vie de la victime.

- pour obtenir réparation, la victime doit apporter la preuve de trois éléments :

la faute ;
le dommage ;
le lien de causalité

La faute lourde étant la faute commise avec intention de nuire.

- Le juge, appréciant les cas qui lui sont soumis toujours in concreto, définit pour chaque espèce ce qui relève de la vie privée et/ou de la vie publique.

Cette atteinte à un droit essentiellement moral, donc détaché des choses réelles, implique une certaine subjectivité dans l’appréciation de l’atteinte.

Cette subjectivité peut laisser penser que la protection de l’image est réservée à une minorité dont l’essentiel des revenus provient de la commercialisation de son image.

source

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